A Avignon, nous avons observé le célèbre Pont d'Avignon
du haut des Jardins des DOMS ce qu'on appelle ke Rocher des Doms.
Le Pont Saint-Bénézet, couramment appelé Pont d'Avignon, est un vestige de pont sur le Rhône composé de quatre arches. Il part du nord d'Avignon en direction du Gard mais ne permet plus de s’y rendre. Sur l'un des piliers est édifiée la chapelle Saint-Bénézet, et au-dessus d'elle, la chapelle Saint-Nicolas.Wikipédia
Suite à mon escapade à Paris le 21 février dernier,
je vous propose une dizaine de photos qui m'ont le plus impressionnée dans ce magnifique monument.
Ci-dessous, quelques renseignements tirés de Wikipedia.
J'ai surtout privilégié l'intérieur.
L’opéra Garnier, oupalais Garnier, est un théâtre national à vocation lyrique et chorégraphique et un élément majeur du patrimoine du9e arrondissement de Pariset de la capitale. Il est situéplace de l'Opéra, à l'extrémité nord de l'avenue de l'Opéraet au carrefour de nombreuses voies.
Cet opéra a été appelé « opéra de Paris » jusqu'en 1989, date à laquelle l'ouverture de l'opéra Bastille, également opéra de Paris, a influé sur son appellation. On le désigne désormais par le seul nom de son architecte : « opéra Garnier » ou « palais Garnier ». Les deuxopérassont aujourd'hui regroupés au sein de l'établissement public à caractère industriel et commercial« Opéra national de Paris »,institution publiquefrançaise dont la mission est de mettre en œuvre la représentation de spectacles lyriques ou de ballet, de haute qualité artistique. L'opéra Garnier fait l’objet d’un classement au titre desmonuments historiquesdepuis le.
Le grand escalier d'apparat menant à la salle de spectacle, aux salons et aux foyers.
L'un des nombreux plafonds
Sur les murs de côté du grand foyer.
Au niveau des loges de côté
La fosse d'orchestre et l'avant-scène
La grandefaçade, donnant sur laplace de l'Opéraet située au carrefour de nombreuses percées haussmanniennes, sert de toile de fond à laperspectivede l'avenue qui sera ouverte un peu plus tard. Elle constitue, en quelque sorte, lemanifestede l'artiste.
En souvenir de la visite qu'il fit à Chenonceau le 14 juillet 1650, Louis XIV offrit bien plus tard, à son oncle le duc de Vendôme, son portrait par RIGAUT avec un extraordinaire cadre de LEPAUTRE, composé seulement de quatre énormes pièces de bois ainsi que le mobilier recouvert de tapisseries d'Aubusson et une console du célèbre ébéniste BOULLE.
Le château de Chenonceau est situé dans la commune de Chenonceaux, dans le département de l'Indre-et-Loire.
Le style dominant du château est Renaissance.
Chenonceau, construit, aménagé, tranformé par des femmes très différentes par leur tempérament, d'où le surnom du château, "Château de Chenonceau, le château des Dames ".
Edifié par Thomas Bohier et son épouse Katherine Briçonnet en 1513.
Enrichi par Diane de Poitiers, agrandi sous Catherine de Médicis, lieu de recueillement avec la reine blanche, Louise de Lorraine. Sauvegardé par Louise Dupin au cours de la Révolution Française et métamorphosé avec Madame Pelouze.
Contrairement à la plupart des églises qui ont traditionnellement une orientation Est-Ouest, celle de la basilique du Sacré-Coeur est Nord-Sud. Le choix de cet axe original s'explique pour une raison topographique, l'étroitesse du plateau dans ce sens-là, et pour une raison symbolique, celle d'ouvrir l'église vers le centre de Paris.
La situation de cet édifice à 130 m d'altitude près de l'un des points culminants de Paris, et son dôme qui s'élève à 83 mètres, la rendent visible de très loin. Avec près de onze millions de pèlerins et visiteurs par an, c'est le deuxième monument religieux parisien le plus visité après la cathédrale Notre-Dame de Paris.
Sur fond de ciel bleu parsemé de nuages blancs, elle est magnifique.
Le lundi de Pâques dernier (2 avril), je suis allée à 40 km de chez moi à Fère-en-Tardenois dans l’Aisne, région Hauts de France.
Première visite : le château.
Le château de Fère-en-Tardenois est un ancien château fort, bâti à partir du début du XIIIe siècle.
Les ruines du château sont classées au titre des monuments historiques.
Au XXIe siècle, le château de Fère-en-Tardenois se présente sous la forme d'une enceinte heptagonale irrégulière que flanquent des tours cylindriques.
Les tours au-dessus de la motte.
On accède à l'enceinte par une porte fortifiée de deux tours à éperon triangulaire du XIIIe siècle, ouverte au sud, qui donne sur la cour du château dépourvu de donjon et juché sur une immense motte semi-artificielle au glacis entièrement maçonné par des pavés de grès. La courtine est flanquée aux angles de sept grosses tours rondes aujourd'hui très ruinées, disposées autour d'une cour heptagonale irrégulière. Ces tours empattées ont leurs assises constituées de trois, quatre ou cinq lits, formant comme des dents d'engrenage ; aucun autre exemple n'étant connu. Percées d'archères, elles ont au XIIIe siècle leurs étages séparés par des planchers, disposition qui fut remaniée à la Renaissance. Les logis et les communs s'appuyaient tout autour de la courtine, et ont tous été reconstruits ou modifiés à la Renaissance. Un puits est creusé au milieu de la cour. Au pied de la chemise, des fausses braies flanquées de tours semi-circulaires ménagent un chemin de circulation.
(source Wikipedia)
Impressionnant fossé
Le château de Fère-en-Tardenois se caractérise par la présence d'un pont couvert monumental, enjambant le fossé. Ce pont de style Renaissance préfigure les dispositions du château de Chenonceau : il comporte une galerie de service et un étage supérieur aménagé en une longue salle consacrée au jeu et à la vie mondaine. Ce pont, long de 60 mètres, constitué de cinq arches, jeté vers 1560 par le connétable de Montmorency, entre la motte et la basse-cour, supporte une « galerie » large de 5 mètres.
(Source Wikipedia)
Vers la galerie
Les deux pans de la galerie
Le domaine de chasse de près de 250 hectares du château constitue l'actuelle forêt de Fère-en-Tardenois. Le dernier propriétaire des ruines du château, Raymond de la Tramerie, enterré à proximité des ruines, en fit don au conseil général de l'Aisne.
Un hôtel de luxe (cinq étoiles) est installé dans les anciennes écuries, à proximité du château.
Les vues sur ce magnifique domaine, haut lieu de la gastronomie et de l’hébergement, seront pour le prochain article.
en s'attardant un peu plus sur certaines sculptures.
Huit photos cette fois-ci.
L'Ange au Sourire, dénommé aussi Sourire de Reims, est une statue dont l'original avait été sculpté entre 1236 et 1245. Cette statue se trouve au portail nord de la façade occidentale de la cathédrale de Reims. Son nom est une appellation de la Première Guerre mondiale.
L'Ange est décapité par une poutre de l'échafaudage en flammes, lors de l'incendie de la cathédrale de Reims, le 19 septembre 1914 Après une chute de quatre mètres cinquante, sa tête se brise au sol en plus d’une vingtaine de morceaux.
La tête de l’Ange au Sourire est ramassée par l’abbé Thinot, dès le lendemain de l’incendie, et mise en sûreté dans les caves de l'archevêché de Reims. C'est là qu'elle est découverte par l'architecte Max Sainsaulieu, le 30 novembre 1915. Elle sert alors de support pour la propagande française, devenant le symbole du génie français et du patrimoine détruit par l'armée allemande.
Après la guerre et à partir des fragments d’origine et d’un moulage conservé au musée des monuments français (ancien Palais du Trocadéro), cette célèbre figure est reconstituée et remise à sa place, le 13 février 1926.
(source Wikipedia)
L'ange au sourire se trouve complètement à droite.
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Depuis le 10 juin 2007, émotions photographiques perçues dans mon Sud Picardie natal: faune, flore, macrophotos, paysages de l'Aisne. Reportages évènementiels, associatifs, expos photos. Voyages, tourisme, Régions de France. L'insolite au passage et créations pour le plaisir! Humour, poésie, musique, ...
A la retraite depuis peu, passionnée de photos: nature, reportages, voyages. Bienvenue dans mon quotidien rythmé par ce que voient "LES YEUX DE MA VIE"! Amis visiteurs, laissez une trace de votre passage, pour un lien à venir!